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La Parolière
16 décembre 2010

I Love You More

La dernière mise à jour remonte à loin... J'écris rarement en anglais mais ce poème-chanson m'est venu naturellement après avoir regardé l'épisode d'une série que j'apprécie particulièrement, le message étant qu'on se met parfois à nu... un peu trop tard. Et reconnaître qu'on a manqué sa chance, c'est généralement dur à encaisser.

clock

I took off the mask
And released my tears
Scratched out the bark
Made the blood appear
For all I've lost
Will not come back
A line's been crossed
The wall is cracked

These words you said
They felt like a sword
Into my neck
Into my so-called world
I cried the pain
So much, so fast
Poured the rain
On the moment passed

What's left to live for?
Who's there to die for?
My pride's gone through the back door
And yet, I love you  more!


All instants shared
All second thoughts
All moves undared
That my mind fought
What my own eyes
Failed to notice
Just cut my heart
Into pieces

What's left to live for?
Who's there to die for?
My pride's gone through the back door
And yet, I love you  more
!

Would you mind to offer
After I missed my chance
A smile and a shoulder
A kiss, maybe a dance
To fill the void I made
The moment I resigned
Kill the noise in my head
This loneliness of mine

What's left to live for?
Who's there to die for?
My pride's gone through the back door
And yet, I love you  more!

What's left to hope for?
Who's there to care for?
I'm not the same person as I was before
And yet, I love you  more

And yet, I love you  more
.

Sparadra

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Commentaires
P
En effet, vous écrivez ou publiez fort peu sur ce blog, mais vous n'écrivez pas pour rien ! Vos écrits sont rares et précieux, comme des perles.<br /> L'émotion qui se dégage de ce poème-chanson est majeure. Quiconque le lit y trouve l'image des étapes cruciales de sa vie :<br /> - où un petit rien aurait suffit à tout changer, mais n'a rien changé ; <br /> - où l'on a pas eu le courage de prendre le risque de souffrir ; <br /> - où le rêve nous a paru plus brillant que la réalité ; <br /> - où nous n'avons pas compris que les mots cachaient ce que disait un regard...<br /> Alors, comme l'écrivait Antoine Pol, "aux soirs de lassitude, tout en peuplant sa solitude, des fantômes du souvenir..."<br /> Pourtant, je ne vous suis pas jusqu'au bout: ce qui est passé est passé, c'est vrai, et on ne peut rejouer une deuxième fois les scènes de sa vie, mais nous ne sommes pas pour autant condamnés au désespoir. Il n'y a pas, dans la vie, une chance qu'on saisit ou laisse passer. Il y a une nouvelle chance à chaque nouvelle tentative. Une chance.. et un risque.<br /> Et une souffrance qui s'accentue, qui se ravive à chaque échec, mais qui n'en rend que plus nécessaire le succès, et plus simple le bonheur.<br /> Amicalement, en vous souhaitant la meilleure fin d'année qui puisse être. <br /> Polyphrène
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